Le relâchement est total dans les moyens de transport privés et étatiques

Après avoir été mis à l’arrêt au début de la pandémie, les moyens de transport en commun avaient été autorisés quelques mois plus tard à reprendre la route avec toutefois l’obligation, pour les transporteurs, de respecter certaines mesures.

Un passager par rangée, le siège se trouvant à côté de lui devant rester inoccupé, un nombre restreint de passagers debout avec le respect de la distanciation physique et bien sûr l’obligation du port du masque.

Ces mesures ont été observées pendant un certain temps avant qu’il y ait un relâchement total du fait des citoyens et des transporteurs, aussi bien dans le transport privé que celui étatique.

La situation à l’intérieur des autobus est revenue « à la normale », c’est-à-dire à la débandade qui caractérise de tout temps cette activité. Tous les sièges sont occupés, l’allée centrale de passage est archi-comble. Le port de la bavette est laissé à l’appréciation de chacun, selon qu’il soit conscient ou non des risques de contamination les uns par les autres par le Covid-19.

Ni le conducteur, ni le receveur ne rappellent les consignes, ils ne semblent pas s’en préoccuper. Il faut le dire, il y en a qui, à ce jour et plus d’une année après le début de la pandémie et des millions de morts dans le monde, font état de leur scepticisme et émettent des critiques par rapport au port du masque. Pas que dans notre pays, les sceptiques existent partout, ils remettent même en cause la liberté de ceux qui sont convaincus de la nécessité du port de la bavette.

Les spécialistes au niveau mondial devraient revenir sur cette question, soit en prouvant l’efficacité du masque ou bien en soulignant son inutilité.

Rachida Merkouche

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