4ᵉ édition d’El Kendi Urology Summit: Un engagement constant pour l’urologie algérienne

En marge de la 4ᵉ édition d’El Kendi Urology Summit, le Dr Mehdi Ferdjioui, Directeur Général des Laboratoires El Kendi, a réaffirmé l’engagement de son entreprise envers les professionnels de santé spécialisés en urologie. « El Kendi est un laboratoire très impliqué auprès de la Société des Urologues algériens », a-t-il déclaré au micro d’Esseha. « L’urologie est une spécialité qui évolue très vite, avec de nombreuses sous-spécialités et beaucoup d’attentes. »
Il a salué l’importance de cette rencontre scientifique, marquée par la participation d’un expert français, et a souligné le rôle actif d’El Kendi dans la promotion du savoir médical. « Aujourd’hui, El Kendi, acteur pharmaceutique engagé pour la science et le partage scientifique, est ravi de retrouver la communauté des urologues pour cet événement d’échanges. » Le sommet, coïncidant avec la date symbolique du 8 mai, a également été l’occasion de lancer un nouveau traitement. « Le 8 mai est une journée de mémoire, de paix et, nous l’espérons, de science ».
Il a ensuite fait part de l’introduction d’une nouvelle molécule : « L’Erixium 5 mg est un médicament contre le dysfonctionnement érectile, un sujet important dans la pathologie masculine. Ce traitement accompagne le confort des patients algériens, et nous espérons qu’il continuera à les aider à mieux se prendre en charge ».
De son côté, le Dr Karim Hachi, spécialiste en chirurgie urologique, a mis en avant l’intérêt thérapeutique de ce traitement, récemment mis sur le marché. « El Kendi nous a réunis aujourd’hui pour un traitement efficace aussi bien sur l’hypertrophie bénigne de la prostate que sur la dysfonction érectile ». Il a rappelé que nombre de patients présentent ces deux troubles simultanément. « Il y a des patients qui présentent ces deux types de symptômes, qui ont des problèmes urinaires et ils demandent pour cela une solution et ils ont souvent, une dysfonction érectile associée ». Pour lui, ce tabou a été brisé : « Grâce aux traitements disponibles aujourd’hui, nous pouvons agir sur les deux troubles, ce qui améliore la qualité de vie du couple ». Il a également salué la qualité et l’accessibilité du médicament : « Grâce à ce traitement de bonne qualité et disponible à un prix abordable, nous pouvons soulager nos patients », a-t-il précisé.
Enfin, le Dr Meriem Loucif, maître-assistante au service d’Urologie du CHU de Beni-Messous, a insisté sur la nécessité d’un dialogue sans gêne entre médecin et patient. « La dysfonction érectile touche un grand nombre de patients au-delà de 50 ans. Malheureusement, c’est encore un sujet tabou, ce qui fait que beaucoup ont du mal à en parler à leur médecin ». Elle insiste sur le rôle du praticien : « C’est à nous de mener un bon interrogatoire, de mettre le patient en confiance pour qu’il ose se confier. » Selon elle, les résultats sont encourageants. « Les patients constatent une amélioration significative avec ce traitement. » Elle adresse un message à ses confrères : « Je lance un appel à mes collègues urologues : lorsqu’ils sont face à des symptômes du bas appareil urinaire, qu’ils pensent à interroger le patient sur sa vie sexuelle et la qualité de ses érections, pour envisager une prise en charge adaptée ».
Hassina Amrouni

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