C’est l’heure de la visite. Les proches des patients hospitalisés s’empressent vers les chambres, grimpant les marches des escaliers ou empruntant les différents couloirs. La crainte par rapport au Coronavirus n’est pas palpable, personne ne porte le masque alors que la promiscuité est celle de tous les jours.
Pour Fazia, garde-malade, « il est surprenant que l’on ne prenne pas la menace au sérieux ». Elle estime que le port de la bavette doit être de rigueur et que les visiteurs pensent à changer de comportement au sein des infrastructures de santé. Dans cet hôpital de Kouba, les patients hospitalisés sont issus de plusieurs communes de la wilaya de Bejaia et les familles affluent de partout au moment de la visite.
C’est dire à quel point le risque de propagation d’un quelconque virus est grand. « Nous n’avons malheureusement pas la culture de la prévention, chacun de nous constitue un vecteur de contamination » déplore cette femme qui s’occupe de sa mère et qui voit chaque jour le personnel soignant procéder à la prise de sang, faire des injections ou faire une perfusion de sérum.
« Là aussi, la tendance ne semble pas être à l’inquiétude. J’estime que les autorités sanitaires doivent adopter l’attitude adéquate. Si Coronavirus il y a, il faut qu’il y ait une politique de prévention et que les citoyens soient sensibilisés. S’il n’y en a pas, qu’on nous le dise » a fait remarquer Fazia. Nadia Rechoud « Une politique de prévention est nécessaire par rapport au Coronavirus » C’est l’heure de la visite.
Les proches des patients hospitalisés s’empressent vers les chambres, grimpant les marches des escaliers ou empruntant les différents couloirs. La crainte par rapport au Coronavirus n’est pas palpable, personne ne porte le masque alors que la promiscuité est celle de tous les jours. Pour Fazia, garde-malade, « il est surprenant que l’on ne prenne pas la menace au sérieux ».
Elle estime que le port de la bavette doit être de rigueur et que les visiteurs pensent à changer de comportement au sein des infrastructures de santé. Dans cet hôpital de Kouba, les patients hospitalisés sont issus de plusieurs communes de la wilaya de Bejaia et les familles affluent de partout au moment de la visite. C’est dire à quel point le risque de propagation d’un quelconque virus est grand.
« Nous n’avons malheureusement pas la culture de la prévention, chacun de nous constitue un vecteur de contamination » déplore cette femme qui s’occupe de sa mère et qui voit chaque jour le personnel soignant procéder à la prise de sang, faire des injections ou faire une perfusion de sérum. « Là aussi, la tendance ne semble pas être à l’inquiétude.
J’estime que les autorités sanitaires doivent adopter l’attitude adéquate. Si Coronavirus il y a, il faut qu’il y ait une politique de prévention et que les citoyens soient sensibilisés. S’il n’y en a pas, qu’on nous le dise » a fait remarquer Fazia.
Nadia Rechoud